14-18Hebdo

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9e semaine de guerre - Lundi 28 septembre au dimanche 4 octobre 1914

 

LUNDI 28 SEPTEMBRE 1914 - SAINT WENCESLAS - 57e jour de la guerre

MARDI 29 SEPTEMBRE 1914 - SAINT MICHEL - 58e jour de la guerre

MERCREDI 30 SEPTEMBRE 1914 - SAINT JEROME - 59e jour de la guerre

JEUDI 1er OCTOBRE 1914 - SAINT REMI - 60e jour de la guerre

VENDREDI 2 OCTOBRE 1914 - SAINTS ANGES GARDIENS - 61e jour de la guerre

SAMEDI 3 OCTOBRE 1914 - SAINT CANDIDE - 62e jour de la guerre

DIMANCHE 4 OCTOBRE 1914 - LE SAINT ROSAIRE - 63e jour de la guerre

Revue de presse

-       L'élan de nos troupes est superbe

-       En Belgique, attaques allemandes repoussées

-       Les armées russes sont à 100 kilomètres de Cracovie qu'elles vont simplement "masquer"

-       La situation générale est satisfaisante

-       L'Offensive russe - Bombardement de Przemysl - Aux environs de Cracovie, une grande bataille est imminente - La dysenterie dans l'armée autrichienne

-       En Belgique, Les Allemands attaquent Anvers - Ils sont repoussés avec de grosses pertes - Les atrocités allemandes

Morceaux choisis de la correspondance

Il semble d’après les dépêches officielles que ce soit dur de les faire déloger de France, ces diables d’Allemands.

29 septembre - ELLE.- Nous avons reçu une carte de Georges hier datée du 22, il était à Châlons. Pour que nous puissions savoir où il se trouve sans donner l’éveil, il nous inscrit le nom en commençant par la dernière lettre dans un petit coin de la carte ; nous sommes plus contentes de savoir au moins dans quelle partie de la bataille il se trouve. Il va toujours bien malgré la pluie et le grand vent qui rendent les bivouacs pénibles. Il semble d’après les dépêches officielles que ce soit dur de les faire déloger de France, ces diables d’Allemands.

 

Sais-tu le nom du docteur qui a soigné Alice M. à Besançon ? Si tu le sais, tu devrais bien, un jour où tu auras le temps, aller le trouver et lui demander s’il pourrait enlever les végétations à André. Informe-toi comment on pourrait faire, si on doit aller dans une clinique ou hôpital ou, si on peut rester à l’hôtel, combien de temps il faudrait rester ? Le docteur d’Epinal avait dit 2 jours. Il avait l’air de très bien s’y connaître, c’est bien dommage qu’on n’ait pas pu le faire avant la guerre. Cela n’a rien de pressant d’ailleurs, André va très bien, mais je préférerais néanmoins le faire opérer avant l’hiver, de crainte que cela ne lui amène des rhumes et maux d’oreilles. De plus cela me donnera l’occasion de te revoir, je suis si en mal de toi mon trésor, j’ai rêvé de toi toute cette nuit. Je ne devrais pourtant pas me plaindre, je suis une privilégiée puisque je te sens en sécurité, et il y en a déjà tant de disparus. Si je vois Pierre Mangin à Cornimont, je lui demanderai le nom du docteur pour le cas où tu ne le saurais pas et te l’écrirai. Mais je me demande si je le retrouverai, s’il ne sera pas parti en Suisse, il m’avait si bien dit que les réformés allaient être rappelés, mais ce ne sont que ceux de la réserve jusque 35 ans, pas ceux de la territoriale, donc je ne pense pas qu’on l’appelle. Il est vrai qu’il est officier, ce sont peut-être d’autres conditions.

 

On dit tous les soirs depuis le début de la guerre le chapelet à l’église à six heures du soir et on donne la bénédiction pour implorer la Providence en faveur de nos armées. C’est une grande récompense pour les enfants quand je les y emmène. Hier Robert était très intrigué par l’encensoir, il a fallu que le lui explique ce que c’était. C’est quelquefois très embarrassant de répondre à leurs questions, les enfants sont si logiques et poussent à fond ce qu’ils veulent savoir. Comme je lui disais que la fumée de l’encens était un signe de ferveur et d’adoration, qu’elle montait au ciel pour montrer à Dieu qu’on l’adore et qu’on le prie : « mais elle ne peut pas monter au ciel puisque le toit de l’église l’empêche de passer et qu’il n’y a pas de cheminée ». C’est comme pour sa prière, à l’église il veut la dire tout haut « parce que le bon Dieu ne peut pas entendre quand on dit tout bas ». Après la grand-messe du dimanche on chante le libera pour les soldats défunts, et cela intrigue beaucoup les enfants de penser qu’il y a un catafalque et que le « mort » n’est pas dessous. Ils se demandent pourquoi Mr le Curé l’encense et le bénit. Enfin on fait toujours beaucoup de pourquoi et je serai bien contente quand tu seras là pour leur répondre, tu sauras mieux leur expliquer que moi toutes choses.

 

Georges nous répète dans toutes ses cartes que, quoi qu’il arrive, nous ne devrions pas partir si les Allemands venaient, il dit qu’il a traversé et retraversé des pays occupés par l’ennemi et qu’il n’a été fait aucun mal aux habitants qui étaient restés et qu’on n’a brûlé et pillé que les maisons inoccupées. A Raon, ils n’ont fait non plus aucune violence à la population mais ils ont brûlé des maisons habitées. Ils ont simplement prévenu les habitants qu’ils voulaient incendier d’avoir à sortir de leur demeure avant 2 heures. J’espère bien d’ailleurs que nous n’aurons plus à prendre de décision semblable, Maman et moi, cela nous aurait toujours beaucoup ennuyées de partir, aussi nous sommes bien tentées de croire Georges, mais Thérèse a une frousse intense.

 

30 septembre - ELLE.- A Cornimont il y a énormément de soldats dans le village, artillerie et chasseurs alpins ; plusieurs cafés sont consignés jusque la fin de la guerre (parce qu’ils ont donné à boire à des soldats ivres). Mr Chevroton a dû fermer il y a déjà un mois. Celui près de la Roche, un du Daval viennent d’être fermés aussi. Geiger qu’on avait donné comme mort, n’est que blessé. Jusqu’alors, il n’y a que le Ct Jonett et le petit Voinson, frère de Isidore, dont on ait annoncé la mort officiellement. Il paraît que l’hôpital et l’hôtel Remy sont pleins de malades et blessés.

 

Marie K. était triste aujourd’hui, elle venait d’apprendre la mort du jeune Gaston Krantz, le 3ème fils de Camille K. Il a été tué près de Longwy le 23 août. Le 4ème fils a été blessé dès le début près d’Altkirch, il est à peu près guéri et vient de partir pour Besançon, sa blessure était au bras. L’aîné est blessé aussi, une partie de la cuisse emportée par un obus. Il est soigné à Paris. Les pauvres gens n’ont pas de chance. Ils avaient déjà perdu un grand fils, il y a 3 ou 4 ans. / Nos deux garçons sont très sages, mais Noëlle est dans une mauvaise veine, elle ment et prend tout ce qui lui tombe sous la main.

 

2 octobre - ELLE.- Je suis allée hier à Cornimont comme j’en avais formé le projet. Je suis partie à six heures ½ du matin, bien emballée parce qu’il faisait frisquet et j’ai conduit la fameuse petite Zèbre jusqu’au col de la Bonne Fontaine. Là j’ai rendu le volant à Kommer jusque St Amé, n’étant pas encore assez sûre de moi pour la descente et l’ai de nouveau repris jusque l’entrée de Cornimont où je ne voulais pas me donner en spectacle. De cette façon nous avons marché sans encombre évitant la place de Remiremont et ses farouches gardiens.

 

A Cornimont j’ai trouvé la maison en très bon état cette fois, tout bien propre. C’est maintenant le général de brigade Joubert (autrefois colonel à Gérardmer) qui y est installé avec son état-major. Je t’assure qu’ils s’installent bien et se mettent à leur aise. Ils ont fait marcher le calorifère, je suis allée voir vers dix heures, il faisait un soleil magnifique et le calorifère marchait à toute allure. J’ai fait appeler le soldat qui s’en occupe et lui ai expliqué qu’il fallait fermer le tirage à huit heures et mettre de la crasse. A cette allure, notre houille sera partie en peu de temps. A cela le soldat a répondu qu’on avait pris en Alsace un train entier de houille et qu’on allait le ramener à Cornimont depuis Krüth. Quels gens peu pratiques que les militaires, vois-tu ce camionnage de houille dans la montée d’Oderen ? Et puis avec quels chevaux ? Je pense qu’ils y renonceront et que, lorsque nous rentrerons chez nous, nous trouverons notre provision de bois et de houille complètement épuisée. A part cela, les officiers ont été très aimables et sont très polis pour les bonnes. Les artilleurs mal élevés sont partis à Oderen.

 

Mr Mangin a fait une scène épouvantable à Mr Géhin parce qu’il avait vu une fois un soldat prendre une vieille planche pour faire du feu. Il avait défendu qu’on donne rien aux soldats, alors que quelques jours avant il avait dit « si les Prussiens viennent, donnez-leur tout ce qu’ils veulent, ouvrez toutes les portes, etc. ». Mr Géhin trouve avec raison qu’il pourrait bien faire un peu plus pour les Français.

 

L’après-midi quand j’ai vu P. Mangin et qu’il m’a dit qu’il avait eu des tas d’ennuis, qu’il avait fallu faire nettoyer toutes les cours après le départ des soldats et que Géhin avait été très impertinent, j’ai pris sa défense, en disant que le pauvre homme avait peut-être eu lui-même bien du mal, que c’est très difficile quand on n’est pas le maître de savoir ce qu’on peut donner ou refuser. Mais j’ai bien vu qu’il se considérait comme la seule victime de la guerre. Le voilà bien malheureux, que cela lui ferait donc du bien d’aller un peu vivre dans les tranchées et de coucher à la belle étoile au lieu d’être dans son lit avec une boule aux pieds. Il m’agace cet homme !

 

Ils avaient recommencé à marcher cette quinzaine au Faing, Daval, Barranges. Ce sera de nouveau arrêté samedi, on gardera le coton qui reste pour remarcher en novembre.

 

Il y a déjà beaucoup de soldats morts à Cornimont. On en a recommandé 8 dimanche dont on a reçu les médailles, dont Emile Voinson, Laheurte du Faing, père de six enfants, Pierrat de Xoulces, il était déchargeur à la gare, sa femme avait travaillé chez vous, elle demeurait dans la cité des Gollets, Albert Geiger, employé qui est mort dans une ambulance, d’autres dont je ne me rappelle plus les noms. On dit aussi que le fils d’Elise, le jeune Georges Perrin, est tué mais ce n’est pas encore officiel. Paul Lemaire est blessé mais pas dangereusement.

 

On est très sévère pour la circulation entre Cornimont et la Bresse ces temps-ci, on ne laisse aucune voiture circuler. Mais cet ordre sévère tombera m’a dit le général d’ici 2 ou 3 jours. Avec mon papier bleu visé par le général j’ai pu passer sans rien dire.

 

A mon retour, Pauline m’a prise à part pour me dire qu’Elise va de nouveau tomber malade, qu’elle se fait trop de bile au sujet de sa mère, que c’est vraiment bien ennuyeux qu’elle n’ait pu repartir. J’en ai parlé au général qui m’a dit qu’il croyait que par la Suisse elle pourrait rejoindre. Il paraît qu’en Alsace, les trains, voitures, bicyclettes sont interdits au public (par les Allemands) mais qu’en passant par le duché de Bade, depuis Bâle, elle pourrait probablement rattraper le Rhin et son pays. J’ai donc dit cela à Elise, ne lui cachant pas les difficultés qu’elle aurait. Elle a dit qu’elle essaierait de rentrer, je lui ai donc écrit son itinéraire, une lettre à porter au maire pour qu’il lui donne les papiers nécessaires pour aller en Suisse. Elle doit passer par Besançon, je lui ai dit qu’elle aille te trouver, s’il y a des formalités à remplir tu les feras plus facilement qu’elle. Je lui ai donné de l’argent et maintenant, elle se débrouillera. Pauline n’a en somme pas besoin d’elle pour garder la maison puisqu’elle a sa famille. J’espère que le maire pourra lui donner les laissez-passer nécessaires et que la pauvre fille arrivera au terme de son voyage sans encombre.

 

Reçu une carte de Georges du 26 sept. Il dit qu’ils ne dorment pas depuis 8 jours, que la cavalerie n’a pas d’action dans les batailles de tranchées comme on en fait de ce côté.

J’espère bien que la guerre ne durera pas tout l’hiver.

4 octobre - ELLE.- Nous avons reçu hier et aujourd’hui de bonnes nouvelles de Maurice et Georges datées du 28 et du 30. Ce matin Maman a reçu une feuille du corps d’armée où sont mentionnées 2 citations à l’ordre du jour du corps d’armée de l’adjudant de réserve Boucher. Je ne l’ai même pas lue, car Bigaut s’est trouvé là quand Maman l’a reçue et a demandé à l’emporter pour la montrer au village. Il est très gentil, Bigaut, très aimable et rendant service. Je crois qu’il ne demanderait pas mieux que l’on remarche car il ne gagne rien, mais tous les hommes sont encore occupés aux forts, ce n’est pas possible. Maman ira demain avec Thérèse à Epinal et demandera si on les emploiera encore longtemps. On leur donne 4 francs par jour même aux gamins de 16 ans, tu penses comme cela les gâte et en somme ils travaillent très peu, on les voit déjà revenir à 6 heures du soir et ils ont 10 bons kilomètres à faire, donc ils quittent au moins à 4 heures, quand il faudra recommencer à travailler 12 heures ils feront la grimace.

 

Tu me dis que pour aller à Besançon j’aurai plus facile d’y venir en auto. Mais je ne puis me servir que de la Zèbre car nous n’avons plus guère d’essence, on a réquisitionné celle de Maurice et nous ne voulons plus nous servir des grosses voitures qui en usent beaucoup, pour ne pas épuiser notre provision, car on nous a dit qu’on ne pouvait plus en trouver. Tous les stocks sont réservés pour les militaires. Comme la Zèbre est à Thérèse, je n’ose guère l’en priver pour plusieurs jours, à moins que les trains soient décidément trop incommodes, auquel cas, je lui demanderais ce service.

 

André va si bien que je renonce quant à présent à l’opérer.

 

J’espère bien, quoiqu’en dise l’oncle Henry qui nous met la mort dans l’âme chaque fois qu’il vient nous voir, que la guerre ne durera pas tout l’hiver. Il dit qu’elle ne sera pas finie avant Pâques, qu’il fait le sacrifice de ses deux derniers fils, que c’est impossible qu’ils survivent à tous ces dangers. Nous ne voulons pas du tout faire le sacrifice des nôtres et nous espérerons jusqu’au bout ; néanmoins ces mauvais présages nous impressionnent et nous laissent le cœur sombre. J’aimerais bien mieux qu’il ne vienne plus nous voir. Il passe, fait son important, fait pleurer Thérèse en ayant l’air de lui dire qu’elle ne reverra plus son mari et c’est tout.

 

Georges est près de Souain, sa dernière lettre était très gaie, ils n’ont rien fait depuis une quinzaine et s’amusent à chasser du gibier qui abonde dans les grandes plaines, ils forcent perdreaux et lièvres au galop de leurs chevaux. Il déplore qu’on ne puisse plus rien trouver à acheter dans ce pays, et réclame des tricots chauds et des cigarettes, c’est ce dont il est le plus privé. On a organisé des colis postaux de 2 kilogs pour envoyer des effets chauds aux militaires, nous allons en profiter.

Gravures du Petit Journal - Supplément illustré - 04/10/1914 (N° 1241)

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L’empereur des Vandales

Parmi les ruines qu’il a faites ou qu’il a laissé faire, l’empereur des Vandales se dresse dans sa grotesque et barbare majesté. Sa botte triomphante écrase les merveilles du passé : l’empereur des Vandales n’a point de respect pour l’art, pour la beauté ; il détruit sans vergogne ce que les siècles ont vénéré, ce que le monde entier admire. L’empereur des Vandales se prétend le chef d’un peuple cultivé : ce n’est qu’un reître couronné.

 

 

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Un duel d’aéroplanes - Védrines abat un avion allemand

Un sapeur du génie, fils d’un conseiller municipal de Nevers, écrivait ces jours derniers à ses parents : « Ce matin, au moment où notre convoi quittait S…, un aéro allemand est venu nous survoler. Nous l’avons salué de salves nourries qui l’ont touché, sans l’abattre. A ce moment, Védrines, avec son Blériot de 180 chevaux, s’est mis à sa poursuite. Durant 8 minutes, ç’a été angoissant. Mais Védrines est monté à 2 000 mètres et à coups de mitrailleuse l’a abattu. Le ‘Taube’ est tombé comme une masse et vous jugez de notre joie ! En 15 minutes, depuis le départ, Védrines était monté à 2 000 mètres, avait « descendu » le ‘Taube’ (le 21e allemand) et était revenu à terre. C’est le deuxième qu’il abat en trois jours. »

 

 

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Les villes martyres - Reims

Nous consacrerons dorénavant une page de chacun de nos numéros aux villes martyres, aux villes martyrisées, pillées, bombardées, incendiées par les Barbares envahisseurs.

Nous donnons aujourd’hui plusieurs vues des monuments de Reims sur lesquels s’acharna la sauvagerie teutonne. Reims, l’une des plus anciennes, des plus riches, des plus belles villes de France, la ville élue de notre histoire, a été occupée, bombardée par eux. Et, comble d’infamie ! sans raison d’aucune sorte, sans nécessité militaire, pour satisfaire uniquement leurs instincts de brutes, ils ont détruit l’admirable cathédrale du treizième siècle, le plus parfait, le plus achevé de nos monuments gothiques. « Pendant deux jours, sans arrêt, dit un témoin, la cathédrale, visée par leurs bombes, a fini par être incendiée. Nous avons assisté à ce sacrilège, et les larmes aux yeux d’émotion, nous avons regardé ce spectacle épouvantable de notre belle cathédrale en flammes. Heureusement, les quatre murs et les tours sont restés debout et la voûte de la nef a résisté, mais le feu a carbonisé bien des sculptures, brisé les vitraux en partie et détruit toute la toiture. C’est la honte des Allemands et le monde entier les en méprisera davantage encore. »

Comment, en effet, le monde civilisé pourrait-il oublier pareil forfait ?

Thèmes qui pourraient être développés

  • Les réformés vont être rappelés : (ceux de la réserve jusqu'à 35 ans) pas ceux de la territoriale
  • Partir ou non ?
  • Les citations
  • Le personnel travaillant pour l'armée (dans les forts)
  • L’aviation - Védrines abat un avion : voir LPJ Supplément illustré du 04/10/14
  • Libera me pour les soldats défunts
  • Les villes martyres : Reims : voir LPJ Supplément illustré du 04/10/14
  • Conseils pratiques - Ne cessez pas de "vivre" - Tricotez (voir LPJ Supplément illustré du 04/10/14)
  • Religion - Fête religieuse - Saints Anges Gardiens - 2 octobre
  • Religion - Fête religieuse - Le Saint Rosaire - 4 octobre


26/09/2014
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