14-18Hebdo

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145e semaine de guerre - Lundi 7 mai au dimanche 13 mai 1917

LUNDI 7 MAI 1917 - SAINT STANISLAS - 1009e jour de la guerre

MARDI 8 MAI 1917 - SAINT DESIRE - 1010e jour de la guerre

MERCREDI 9 MAI 1917 - SAINT GREGOIRE DE NAZIANZE - 1011e jour de la guerre

JEUDI 10 MAI 1917 - SAINT ANTONIN - 1012e jour de la guerre

VENDREDI 11 MAI 1917 - SAINT MAMERT - 1013e jour de la guerre

SAMEDI 12 MAI 1917 - SAINT NEREE ET ACHILLEE - 1014e jour de la guerre

DIMANCHE 13 MAI 1917 - SAINTE AGNES DE POITIERS - 1015e jour de la guerre

Revue de presse

-       Violente lutte d'artillerie au secteur de Craonne et vers Hurtebise

-       Succès anglais à l'est de Bullecourt

-       Les Allemands ont réussi à reprendre pied au Fresnoy

-       L'approvisionnement de Paris en charbon

-       La république du Libéria a rompu avec l'Allemagne

-       M. Bonar Law demande aux Communes un nouveau crédit de 500 millions de livres

-       Manifestation monstre à Salonique contre le roi Constantin

-       On demande du sucre pour les confitures

-       Les Serbes enlèvent des tranchées bulgares

-       Une violente attaque sur Cerny est complètement repoussée

-       Bethmann va envoyer le Reichstag en vacances

-       Quels seront les jours sans viande ?

-       La question des charbons agglomérés

-       Les conditions des contre-offensives sur le Chemin des Dames

-       Les Anglais ont repris l'offensive et occupé Bullecourt

-       En Russie - Le comité des ouvriers et soldats refuse de participer à un ministère de coalition

 

Morceaux choisis de la correspondance

La guerre sous-marine boche nous cause beaucoup de préjudices et il n’est que temps de prendre des mesures pour y parer.

7 mai - LUI.- J’ai reçu tes deux bonnes lettres du 2 et du 3 courant et suis heureux que tu n’aies pas eu trop de retard et que ton voyage de retour ne t’ait pas trop fatiguée. L’oncle Henry est toujours le même et cause beaucoup, mais il est parfois fort intéressant et en voyage cela passe le temps. Tu ne me parles pas de ses impressions sur la guerre. Il doit cependant avoir quelques tuyaux. Je crois que la guerre sous-marine boche nous cause beaucoup de préjudices et qu’il n’est que temps de prendre des mesures pour y parer. En tout cas pour tout ce qui concerne l’approvisionnement, je crois qu’on aurait tort de compter sur le gouvernement et Maman a parfaitement raison de s’affilier à un groupement composé de gens sérieux et honnêtes comme Mr Bodenreider.

 

Nous sommes toujours ici et ne semblons pas prêts d’aller au repos. Avant-hier 6 mai, grosse journée, hier également, aujourd’hui c’est plus calme. Si tu as encore l’Echo de Paris du 5 mai, tu trouveras dans l’article de 1ère page intitulé « A l’assaut du Chemin des Dames » un compte rendu assez fidèle de ce que nous avons fait, car il s’agit dans cet article de notre division. D’ailleurs j’ai gardé le journal et te le montrerai à mon retour.

 

Figure-toi que le petit père est tout près de moi. Il a rencontré un de mes maréchaux des logis qui va au ravitaillement et m’a fait parvenir un mot dans lequel il me dit qu’il est dans un village à peu près à 5 kilomètres en arrière de ma position de batterie. Je ne peux pas quitter ma batterie ces jours-ci mais j’espère que d’ici quelques jours le calme sera revenu et je pourrai aller le voir. D’ailleurs j’ai hâte de me dégourdir un peu les jambes, car si le métier que nous faisons est fatigant parce qu’on dort peu et qu’on est forcément un peu énervé, d’un autre côté on ne se promène presque plus et cela nous manque.

 

As-tu reçu la lettre que je t’écrivais avant-hier avec les photos. J’ai envoyé hier un cycliste avec un mot pour Henry. Le cycliste est revenu en me disant que mon frère allait très bien, qu’il était « fin gras », etc. C’est amusant.

 

A L’ASSAUT DU CHEMIN DES DAMES

18 avril 1917

Un P.C. de division, celui de la …e D.I… - Nous gagnons par d’admirables boyaux taillés dans le sol jaune, friable mais bien tassé, les singuliers « bureaux » de l’état-major où le général nous accueille, calme, résolu, souriant devant la table chargée de plans de l’attaque imminente. Nous gagnons l’observatoire en face du terrain qui va être le théâtre de la lutte. C’est le plateau de Craonne : nos premières lignes occupent le bord de la première crête ; la partie à attaquer tient entre la route de Troyon à Chamouille et une ligne allant de Troyon à Courtecon. A notre gauche le ravin de Chivy aux pentes mi-crayeuses, mi-argileuses, grandes taches de blanc et d’ocre qu’avive l’humidité. Après la première crête, le plateau se ride en de nombreux replis, ce terrible plateau que nos troupes ont connu en 1814, en 1914, plein de surprises, même quand le boche n’avait pu encore le remplir de traquenards. Ça et là, de petits bois de sapins, quelques bouleaux. Notre artillerie a raviné la première ligne où l’on aperçoit un enchevêtrement de fils de fer tordus et rompus. Plus loin à notre gauche, le Bois du Paradis, à notre droite Cerny, dont la Sucrerie n’est presque plus qu’un nom. Au-delà le plateau est barré par le fameux Chemin des Dames que la division doit franchir… A nos pieds le village de X…, où les caves sont préparées pour recevoir les blessés.

 

Division pittoresque où notre armée se panache d’éléments africains, car si sur un point va attaquer le … e d’infanterie – des gars de Guyenne – ailleurs attend, frémissant d’ardeur, un régiment mixte d’Afrique, tandis que, graves et presque solennels, les Marocains drapés dans leurs djellabahs, se préparaient à commencer le baroud (tapage guerrier).

 

Nuit humide et froide, mais tout à l’heure soleil et vent de quoi sécher un terrain, qui heureusement se raffermit aussi vite qu’il s’amollit, et, alors, nous avons fait l’expérience, quelle chaleur dans les fonds et quel éclat aveuglant prend le sol crayeux !

 

L’ordre d’attaquer est pour 6 heures. Toute la nuit du 15 au 16, l’artillerie a ronflé, achevant de ruiner les travaux allemands de première ligne, mais, à la vérité, impuissante à détruire les abris des contrepentes, creutes naturelles ou travaux militaires, repaires à boches. Ce sera une grosse difficulté.

 

Six heures. Un bond prodigieux des bataillons de première ligne de la division, sur un front de 1,000 mètres.

 

Les Marocains ne sont plus flegmatiques. Ils s’élancent, étonnants déjà par leur science du combat moderne. Ils dégringolent dans le ravin de Chivy, atteignent le bois du Paradis : c’est un ravin boisé où, de par notre marmitage, arbres abattus et fils de fer constituent un inextricable fouillis. A 8 h 40, nos gens sont maîtres du bois, ayant fait un carnage d’Allemands et pouvant cependant en expédier à l’arrière 500 faits prisonniers, parmi lesquels un chef de bataillon.

 

A 9 heures le Chemin des Dames est atteint. Ce n’est pas sans pertes, bien entendu, et on jette en renfort un bataillon de zouaves qui prend une belle part au combat. Chivy à l’arrière – que doit enlever une division voisine – tient toujours, grosse gêne. Mais tout de même on avance.

 

Mais les Allemands ont travaillé le plateau. Les pentes sont percées de part en part de tunnels, faisant communiquer les pentes prises avec les contrepentes à prendre. Les boches débusquent derrière les vagues d’assaut, fusillent nos hommes dans le dos : c’est alors une mêlée, des corps à corps sanglants à la sortie même d’un des tunnels, nos mitrailleuses font leur œuvre. Et soudain grands cris de joie : Chivy vient d’être enlevé par la division voisine. Les Marocains, délivrés de ce souci, s’établissent sur le Chemin des Dames et au delà.

 

Au centre, le bataillon mixte a également tout renversé sur son passage, franchi le Chemin des Dames, sauté dans la tranchée de Fiume, où il se consolide en dépit de feux violents de mitrailleuses.

 

A droite, le … e d’infanterie se heurte tout de suite à une résistance plus acharnée encore. Son principal objectif est la sucrerie de Cerny. Mais c’est un des points que l’ennemi entend défendre avec le plus d’âpreté, car c’est là que la fameuse ligne Hindenburg se lie à l’ancienne ligne, et ils entendent que cette charnière ne soit pas brisée. Un bataillon du … e, jeté en avant, a franchi la première ligne d’un tel élan que, le Chemin des Dames enjambé, le régiment le dépasse de près de 500 mètres au nord jusqu’à un chemin creux où un bataillon prend position.

 

La sucrerie est occupée, mais c’est au milieu de nappes de balles de mitrailleuses et de fusils.

 

Il faut que toute la division s’arrête : le corps de gauche voisin n’a pu qu’avancer lentement ; Cerny reste aux Allemands. Il faut étendre la ligne à droite. Les trois bataillons du … e sont en ligne.

 

Toute la division a franchi le Chemin des Dames. Mais les 17 et 18, tandis que notre artillerie s’est remise à l’œuvre, les Allemands font un effort énorme pour reprendre la sucrerie. Par des boyaux fort larges où quatre hommes peuvent passer de front, ils font déboucher des colonnes massives de grenadiers ; ceux-ci n’ont aucune arme, aucun impedimentum ; en bras de chemise pour être moins gênés, ils lancent des milliers et des milliers de grenades.

 

Dix de ces attaques sont brisées. Mais le 19, le bataillon du … e qui tient la sucrerie, se trouve, après ces trois jours de bataille acharnée, en face de troupes fraîches. Celles-ci s’avancent de toute part par les boyaux : ce sont toujours les colonnes de grenadiers. En avant quatre hommes à qui les camarades passent les grenades, et les quatre hommes tombés sous nos coups, quatre les remplacent. Cependant des mitrailleuses qui se révèlent de toute part crachent sans cesse ; près de l’une d’elles, enlevée par nos hommes, on trouve des bandes qui permettent de constater qu’en quelques minutes plus de 900 cartouches ont été tirées. Nos mitrailleuses ripostent. Et le Chemin des Dames reste à la division qui en remet la défense à la division qui la relève.

 

Marocains, zouaves et fantassins, après cette mêlée effroyable, regagnent l’arrière avec le sentiment d’avoir, au milieu de difficultés effroyables, rempli leur mission.

L’Echo de Paris – 5 mai 1917

 

 

S’il ne survient rien d’imprévu je partirais donc moi-même dans 29 jours et je m’en réjouis. Songe qu’il y a quatre mois aujourd’hui que je partais et j’aurai en somme un retard d’un mois, ce qui est bien désagréable.

9 mai - LUI.- J’ai reçu ta bonne lettre du 4. Nous voici revenus à peu près au calme mais nous n’irons pas de suite au repos. On estime en effet que nous pouvons tout aussi bien rester ici. D’ailleurs je crois qu’on va nous faire changer de position et je crains que nous ayons encore moins de confort qu’ici et que nous soyons dans le bled pendant quelque temps. Heureusement qu’il ne fait plus froid maintenant et qu’on peut facilement rester sous la tente. Mais je suis bien content quand même, car on vient de rétablir les permissions pour les officiers et un de nos camarades est parti ce matin. S’il ne survient rien d’imprévu je partirais donc moi-même dans 29 jours et je m’en réjouis. Songe qu’il y a quatre mois aujourd’hui que je partais et j’aurai en somme un retard d’un mois, ce qui est bien désagréable.

 

J’ai été voir Henry et comme le disait mon cycliste il est « fin gras » et se porte très bien. Il est brigadier d’ordinaire dans une formation sanitaire automobile et d’après ce que j’ai vu il a toujours de quoi manger. Comme j’avais fait la course à pied et qu’il faisait chaud, il m’a fait boire un petit vin délicieux, qu’il avait déniché du côté de Fismes.

 

Voilà qu’on m’appelle et il faut que je parte de suite en reconnaissance. Je t’embrasse vite au galop avec les enfants. Ton Geogi.

 

10 mai - LUI.- Ma lettre d’hier a été interrompue brusquement. Nous allons changer de position mais ne serons pas comme je le pensais dans le bled, nous serons à peu près comme ici.

 

Je t’écris vite un mot pour te dire que je suis nommé commandant. Je m’y attendais bien un peu. Je t’ai dit que le général de la division m’avait dit qu’il me proposait avec les notes les plus élogieuses. Le Ct de l’artillerie du corps d’armée m’avait dit aussi récemment qu’il m’avait proposé le 1er du corps d’armée. Enfin tu vois cela n’a pas traîné. Je suis content puisque tu semblais le désirer, mais je serais encore plus content si je pouvais rester avec mes camarades. C’est ce qui va peut-être arriver, le Ct Bickart m’ayant dit hier en m’annonçant ma promotion qu’il se sentait fatigué et qu’il allait demander un groupe lourd et par conséquent que j’aurais sa place. Ceci m’arrangerait tout à fait, je n’aime pas les changements et les visages nouveaux et, comme je m’entends très bien avec tous mes camarades, qui sont tous gens sérieux et de bonne volonté, cela ira tout seul.

 

Je t’écrirai plus longuement demain. En attendant je t’embrasse de tout cœur avec nos chéris.

 

Les Allemands ont prononcé une très forte contre-attaque.

12 mai - LUI.- Je n’ai rien reçu de toi depuis trois jours et tu sais ce que c’est, je commence à m’impatienter. Je suis sûr qu’aujourd’hui je vais recevoir au moins trois lettres. Je n’ai pas pu t’écrire hier. Tu verras certainement dans les communiqués que les Allemands ont prononcé une très forte contre-attaque. Ils ont d’ailleurs été repoussés avec de très grosses pertes, mais ce n’a pas été sans mal car arrivant avec 8 bataillons contre une de nos tranchées ils avaient pu s’en emparer. Nous avons donc tiré toute la journée et presque toute la nuit et nous étions fourbus. Aujourd’hui calme plat et tous mes hommes sont couchés. Il n’y a pas à dire on sera bien obligé de nous relever bientôt, car des petites séances comme celle-là énervent et fatiguent les hommes.

 

Tu as reçu ma lettre d’avant-hier, dans laquelle je t’annonçais que j’étais nommé commandant. J’ai eu de la part de mes camarades toutes sortes de témoignage de contentement qui m’ont beaucoup touché. Je ne peux pas encore leur dire que je resterai probablement avec eux, puisque le Ct ne veut pas qu’on soit au courant de la démarche qu’il a tentée pour lui-même d’abord et aussi je crois pour me faire plaisir car il savait combien cela m’ennuierait de changer, mais je crois que, lorsqu’ils sauront que je reste, ils seront tous contents et avec eux cela marchera très bien.

 

J’ai prévenu le petit père qui m’a répondu par la lettre ci-jointe. Je tâcherai d’aller encore le voir un de ces jours, mais c’est difficile car provisoirement je garde évidemment le Ct de ma batterie et on ne peut guère s’absenter avec ces boches qui déclenchent des grosses contre-attaques sans vous prévenir.

 

J’espère que les chéris vont bien et qu’ils n’ont plus de clous. Maurice a bien de la chance de revenir en permission. Mais tu sais cela ne peut plus beaucoup tarder et je me réjouis de revoir ma Mie jolie, qui tâchera de venir me chercher à la gare d’Epinal, n’est-ce pas chérie.

 

 

Gravures du Petit Journal - Supplément illustré - 13/05/1917 (N° 1377)

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Le général Tamagnini

Le général Tamagnini d’Abreu est le commandant en chef des forces portugaises qui combattent sur notre front. Grand, élancé, il a gardé, bien qu’il ait légèrement dépassé la soixantaine, l’allure jeune d’un officier de cavalerie. Il fut, sous l’impulsion du ministre de la Guerre du Portugal, M. Norton de Mattos, un des réorganisateurs de l’armée portugaise. Il aspirait ardemment à faire jouer à son pays un rôle dans la grande lutte. C’est avec une forte volonté qu’il a préparé, au camp de Tancos, à peu de distance de Lisbonne, les troupes qui lui étaient confiées.

 

Figure essentiellement militaire, le général Tamagnini s’est toujours tenu en dehors des agitations politiques. On l’a surnommé au Portugal, et c’est un surnom dont il est fier, le « disciplinateur ». Sa sévérité sait, d’ailleurs, se tempérer de cordialité, et il inspire la plus grande confiance aux soldats qu’il a formés. Ils savent que, en venant prendre leur part d’honneur et de péril à côté des Français et des Anglais, ils ouvrent pour leur patrie, riche de grands souvenirs, une ère nouvelle d’histoire. C’est cette idée qu’il a développée en eux, en s’attachant à doubler de cette force morale l’entraînement auquel il les soumettait.

 

Ajoutons ce détail savoureux à la courte notice sur le grand chef portugais. Le général jouit du privilège de fleurir sa boutonnière avec les camélias du fameux château national de Penha, dont les fleurs, selon une nouvelle coutume, sont réservées aux meilleurs serviteurs de la nation.

 

 

 

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Le front de l’Yser

Nous donnons aujourd’hui à nos lecteurs le neuvième plan panoramique du front, celui de l’Yser. S’il est une région dont le nom vivra dans les annales de l’héroïsme, c’est bien celle-ci. Là, au mois de novembre 1914, se déroulèrent des combats de géants. Là, nos valeureux fusiliers marins se couvrirent de gloire. Cette bataille de l’Yser qui ne dura pas moins de trois semaines, a marqué la fin des grandes attaques allemandes, en dissipant à jamais l’espoir qu’avaient nos ennemis de vaincre la France. Nos lecteurs en revivront toutes les phases en étudiant le plan de cette région historique que nos alliés belges n’ont pas cessé depuis lors de défendre contre toute tentative de nouvelle offensive allemande.

 

 

 

Les instantanés de la guerre (photos)

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Obsèques de l'aviateur américain John Benet, mort en France

Le fameux moulin de Pontavert

Les troupes portugaises - L'artillerie légère

Tranchée allemande occupée par les Anglais

Donne-lui tout de même à boire…

Le village et l'église de Moulin-sous-Touvent

Inondations au nord de Soissons

Artillerie traversant Crouy-sur-Aisne

Dans le boyau en attendant l'assaut

La cavalerie portugaise - Une charge

Régiment d'infanterie portugaise en marche

Paissy (Marne) près de Craonne - Le château

 

 

Thèmes qui pourraient être développés

  • Paris - L'approvisionnement de Paris en charbon
  • Libéria - La république du Libéria a rompu avec l'Allemagne
  • Grèce - Manifestation monstre à Salonique contre le roi Constantin
  • Rationnement - On demande du sucre pour les confitures
  • Chemin des Dames - Une violente attaque sur Cerny est complètement repoussée
  • Rationnement - Quels seront les jours sans viande ?
  • En Russie - Le comité des ouvriers et soldats refuse de participer à un ministère de coalition
  • Grade - Brigadier d'ordinaire
  • Le général Tamagnini, commandant le contingent portugais (Portrait dans LPJ Sup)
  • Le front de l'Yser (LPJ Sup)
  • Le Portugal et la France (LPJ Sup)
  • Les instantanés de la guerre (Photos dans LPJ Sup)


05/05/2017
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